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 Retrouvailles : 28 ans après la chute - MPX

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MessageSujet: Retrouvailles : 28 ans après la chute - MPX   Retrouvailles : 28 ans après la chute - MPX Icon_minitimeMer 27 Avr 2016 - 0:05

Pseudo de l'auteur : MPX

Nombre de chapitre : 3

Rating de l'hisoire : PG13

Genre de l'histoire : Romance (détails historiques)

Resumé de l'hisoire : Après 28 ans, le mur de Berlin tombe et des familles se retrouvent, plus particulièrement la famille Mayer.


Retrouvailles : 28 ans après la chute - MPX Commen11


Dernière édition par MPX le Jeu 1 Sep 2016 - 17:49, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Retrouvailles : 28 ans après la chute - MPX   Retrouvailles : 28 ans après la chute - MPX Icon_minitimeMer 27 Avr 2016 - 0:11

10 Novembre 1989 : les frontières de Berlin sont ouvertes

28 ans étaient passés quand  le mur de Berlin est tombé. Horst et Claudia avaient pensé chaque jour à leur fille perdue et s’étaient imaginé des milliers de fois leur retrouvailles. Après vingt huit ans leur rêve devint réalité, ils allaient la revoir. Karin, leur fille avait grandi, elle avait l’air plus mure et on pouvait voir qu’elle avait grandi trop vite.
Lorsque le père l’aperçut en premier, il ne put que dire :
« Karin, ma fille ... »
Karin était si surprise qu’elle ne pouvait d’abord rien dire. Après un instant elle dit :
« P-Papa, Ma-Maman ! »
Claudia qui se rapproche d'elle pour la toucher murmure :
« Tu es très belle. Est-ce-que tu veux venir avec nous dans notre appartement pour parler un peu ? »
Horst : « Ca serait vraiment super. »
Karin : « Oui, oui faisons cela. Vous m’avez tellement manqué. »
Quelques minutes plus tard ils arrivent dans l’appartement des Mayer.
Horst : « Raconte-nous un peu ce qui s’est passé après que la Stasi t’es trouvée. »
Claudia : « Laisse lui donc un peu d’air. Tu n’as pas besoin de la harceler tout de suite avec des questions. »
Karin : « Maman, c’est bon. Vous avez le droit de savoir ce qui est arrivé. Après être retournée dans la chambre, j’ai aidée Franziska à garder la porte fermé pour empêcher les Stasi de rentrer. Malheureusement, après un moment la porte a cédé et ils sont rentrés. Nous avons été arrêtées et mis en détention. Nous avons eu de la chance. Lors d’un transport à un autre endroit de détention nous avons pu nous échapper et quitté Berlin. Par contre, ils étaient déjà à nos trousses, il fallait les semer. Nous étions caché le jour et en cavale la nuit et cela pendant plusieurs jours. Je ne saurais vous dire combien. Après d’interminables jours à être en cavale nous avions trouvé refuge dans un petit village loin de Berlin. Franziska s’est occupé de moi, elle a trouvé un travail comme prof de piano. Je suis allée à l’école puis étant assez âgé pour travailler j’ai, moi aussi, essayé de trouver un travail. Franziska m’en a empêchée, elle voulait que je finisse mes études.
Claudia : elle a bien fait.
Karin : Oui je sais. Donc comme je le disais j’ai fini mes études puis je suis allée à l’université dans la ville la plus proche pour devenir professeur de physique et chimie. Cela m’énervait un peu que je sois obligée de laisser Franziska toute seule mais je n’avais pas de choix, elle voulait que j’accomplisse mon rêve. Et pour cela il fallait que je parte. J’ai fini mes études et j’ai vite trouvé du travail. Et par chance c’était dans mon village. J’étais très contente puisque je m’étais attachée à ma mère de substitution.
Karin regarda sa mère comme pour lui dire qu’elle est et a toujours été sa mère.
Karin : J’ai donc travaillé et cela m’a beaucoup plus. Après quelques années Franziska est tombée malade, elle avait un cancer plutôt agressif. J’avais peur de la perdre, elle était la seule personne qu'il me restait. Heureusement j’ai fait la rencontre de quelqu’un qui était par la même occasion le médecin de Franziska. Cette personne m’a vraiment beaucoup soutenu et a réussi à vaincre le cancer de Franziska. J’étais aux anges, ma « mère » était guérie, j’avais une amie sur qui compter et en plus j’avais le travail de mes rêves. Seule ombre au tableau mes parents n’assistaient pas à mon bonheur. Les années sont passées et le mur est enfin tombé. Je suis contente de vous retrouver après tant d’années.
Horst : Nous aussi gamine, nous aussi.
Claudia : Tu nous as tellement manqué.
Karin : Et vous qu’avez-vous fait les 28 dernières années ?
Claudia : C’était très dur les premières années, sans toi. Tu nous as beaucoup manqué. Tu es quand même notre fille, avec qui nous avions vécu pendant 14 ans. Celle qu’on a tant attendu pendant des années et qu’on chérie le plus. Tu es notre petit bout choux.
Horst : On été souvent près du mur, on regardait par-dessus tous ces barbelés et … on espérait te voir.
Claudia : Mais on savait qu’on allait sûrement plus jamais te revoir.
Horst : Les premiers jours ont été les plus difficiles. On passé notre temps devant le mur à nous lamenter et à te pleurer.
Claudia : C’est un ami nouvellement gagné qui nous a fait comprendre que ce que nous faisions ne servait à rien.
Horst : Je me rappelle qu’il était ivre de colère qu’on se laisse aller de la sorte.
Claudia : Il nous a beaucoup aidés.
Horst : et soutenus.
Claudia : Oui, et soutenus. Nous avons cherché et trouvé du travail. Moi en temps que secrétaire et ton père dans la construction.
Horst : Puis quand nous avons eu assez d’argent, nous nous sommes acheté un appartement.
Claudia : Les années ont passé. Les jours se ressemblaient tous : se lever, aller au travail, travailler, rentrer, se coucher et entre temps manger.
Horst : L’âge de la retraite est vite arrivé.
Claudia : Mais nous avions gardé une tradition…
Horst : Tous les dimanches nous allions devant le mur…
Claudia : Oui, à l’endroit où nous t’avions vue pour la dernière fois.
Horst : C’était notre petit rituel.
Claudia : Parfois nous ne pouvions pas approcher le mur donc on restait un peu en retrait à attendre.
Horst : Ces dernières années étaient très longues et très dures.
Karin : Maintenant nous nous voyons et je suis très contente. Ca se voit que notre vie n’était pas tellement simple les dernière années.
Claudia : Mais dis moi, comment va Franziska ?
Karin : Après son cancer elle était très faible. Il y a quelques années elle a attrapé une sévère grippe et comme son système immunitaire était très affaibli elle …
Horst : Ne me dit pas qu’elle est morte. Nous n’allons pas pouvoir la revoir et la remercier pour tout ce qu’elle a fait !?
Karin : Quoi, non, non, non, pas du tout. Elle va bien ou plutôt elle va bien selon les circonstances. Mais elle est en vie. Donc comme je disais son système immunitaire était très affaibli et elle a eu vraiment beaucoup de chance de s’en sortir. Heureusement le meilleur médecin s’occupait d’elle. C’était le même médecin qui s’était déjà occupé d’elle lors de son cancer. Donc elle s’en est sortie mais elle était encore plus faible. Avec mon travail qui me prenait tout mon temps et mon manque d’expertise dans le domaine médical je ne pouvais plus m’occuper d’elle moi-même. Je l’avais compris, elle l’avait compris et son médecin l’avait compris. Mais jusqu’à ce que moi et Franziska nous nous avouions vaincues et prenions une décision, quelques semaines étaient passées. Nous ne voulions pas nous séparer.
Claudia : Je me rappelle que tu tenais particulièrement beaucoup à elle.
Horst : Nous pouvons te comprendre. Que s’est-il passé après ?
Karin : Donc son médecin et accessoirement aussi notre amie. Vous vous rappelez je vous en ai parlé avant.
Horst : Oui, le médecin qui la soignait du cancer et de la grippe et qui t’a beaucoup soutenue, c’est ça ?
Karin : Oui, exactement. Donc, elle nous a fait comprendre que Franziska devait aller dans un centre spécialisé pour qu’on s’occupe d’elle correctement. Elle est donc parti pour ce centre qui se trouvait à quelques kilomètres de notre maison pas loin de l’hôpital.
Claudia : Oh, ça a surement été dur pour toi, non ?
Karin : Oui, très dur. J’ai demandé une mutation pour être plus près d’elle et pour avoir un trajet plus court pour lui rendre visite. On m’a mutée dans le lycée de la ville, j’ai vendu la maison et suis allée vivre en colocation avec mon amie. Elle m’a beaucoup soutenue et aidée. Je suis souvent allée rendre visite à Franziska.
Claudia : Oh d'accord...
Horst : Mais tu as dit que tu n’habitais pas à Berlin. Alors que fais-tu ici ?
Karin : J’ai des contacts ici qui m’ont dit qu’il y avait beaucoup de tumultes. Donc hier j’ai décidé de venir avec l’espoir que le mur tomberait et que je vous reverrais.
Claudia : Tu as eu de la chance.
Karin : Oui !
Horst : Dis moi tu es mariée ?
Karin sourit d'un air rêveur et dit : Je ne peux pas me marier.
Claudia  surprise : Pourquoi ça ?
Karin : C’est une longue histoire et en plus elle est compliquée. Je ne sais pas si c’est une bonne idée de vous la raconter.
Horst : Mais pas du tout. Tu peux tout nous raconter.
Karin : Je ne pense pas. Cela ne serait pas la chose à faire tout de suite. Je vous dirai pourquoi je ne peux pas me marier la prochaine fois qu’on se verra et qu'en je penserais que vous êtes prêts à l'entendre. D’accord ? Je ne veux pas vous brusquer.
Horst : Pourquoi tu en fais tout un mystère ?
Claudia : Calme-toi Horst, si elle dit que nous ne sommes pas encore prêts à l’entendre alors nous attendrons. Ok ?
Horst : Bien
Karin regardant sur sa montre : Il faut que je parte, j’ai encore un rendez-vous. Je vous dis à la prochaine fois ?
Horst, se levant : Oui.
Claudia de même : Quand est ce que tu veux revenir ?
Horst : Combien de temps tu es en ville ?
Karin : Pourquoi pas demain et je ne sais pas encore tout dépend de vous …
Horst : Que veux-tu dire ?
Karin : Tu comprendras tôt ou tard. Sur ce, Maman, Papa je vous dis à demain.
Karin quitte l’appartement des Mayer avec un sentiment de bien-être. Elle avait revu ses parents.
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MessageSujet: Re: Retrouvailles : 28 ans après la chute - MPX   Retrouvailles : 28 ans après la chute - MPX Icon_minitimeMer 24 Aoû 2016 - 16:53

15 Novembre 1989 : Secret devoilé... mais à quel prix ?

Karin était contente, les frontières étaient ouvertes depuis hier soir. Des milliers de personnes avaient déjà passé les frontières. Toute la nuit et la journée il y avait eu la fête à Berlin. Elle se rappelait avoir dansé avec des centaines de personnes sur le mur de Berlin. Ces images resteraient gravées à jamais dans sa mémoire. En y repensant, elle devait sourire. Elle se rappella que dans la nuit du 10 novembre l'actuel maire de Berlin, Walter Momper avait ordonné aux banques de donner une somme de 100 DM à tous les citoyens venant de l'ouest. C'est dans de longues files d'attente que les citoyens étaient venus chercher leur argent de bienvenue. Elle avait attendu des heures pour que ce soit enfin à son tour.
L'Allemagne était enfin de nouveau unie !
C'était en ce jour de deuxième jour de liberté que Karin se rendait chez ses parents comme promis. Il se racontèrent tout plein d'anecdotes. ce n'est que quelques heures plus tard que Karin s'en alla à nouveau.
Horst : J'espère à bientôt.
Claudia : Oui moi aussi.
Karin : Je pense que je repasserais demain, à la même heure.

S'en suivit alors pendant quelques jours une certaine routine. Karin venait chez ses parents leur rendre visite. Il se parlaient de tout et de rien et essayaient de se connaître à nouveau, rattraper 28 ans perdus.

C'était après cinq jours de visite intensive que Karin décida de leur raconter ce qu'ils voulaient entendre, c'est-à-dire pourquoi elle ne pouvait pas se marier.

Karin : Maman, Papa je pense que vous êtes prêts mais si je vous raconte tout cela vous devez me promettre de ne pas m'interrompre, de ne pas vous énerver ou vous demander ce que vous avez mal fait. Vous devez garder tout commentaire pour vous, d'accord. Ceci m'est indispensable pour tout vous raconter. Est-ce que vous avez compris ?
Horst : D'accord, pas de commentaire.
Claudia : Je commence à avoir peur, j'espère que ce n'est rien de grave ?
Karin, sourire au coin des lèvres : Non rien de grave du tout... du moins pour moi.
Claudia : Oh là là, je me demande vraiment ce qu'est cette révélation.
Karin : Maman !
Claudia : Désolée, oui je promets.
Karin un peu stressée : Vous vous rappelez du médecin qui a soigné Franziska, qui m'a énormément soutenue et avec lequel je me suis liée d'amitié ? Et avec qui j'ai emménagé pour être plus près de Franziska ?
Ses parents acquiescèrent pour répondre par l'affirmatif.
Karin : Bien alors commençons par le commencement. Franziska se sentait mal, voir plus mal que d'habitude pour que je l'emmène aux urgences. Nous fûmes prises en charge assez vite. Les médecins ont effectué plusieurs tests pour savoir de quoi elle souffrait et ont trouvé qu'elle avait un cancer assez agressif mais opérable. Son médecin en charge était Katja Engel. Elle est très compétente et a eu pour nous des conseils qui nous ont beaucoup aidées. Elle nous a suggéré le centre spécialisé pour s'occuper de Franziska. Revenons à ce que je disais. Elle a opérée Franziska, la tumeur a bien été enlevée et elle allait de mieux en mieux.
Franziska était encore quelques semaines à l'hôpital pour reprendre des forces. Moi je passais le plus souvent possible la voir et je parlais avec le médecin. Nous avons beaucoup parlé aussi en dehors de ses heures de gardes.  
Lorsque Franziska est sortie de l'hôpital, Katja avec qui je me suis liée d'amitié, m'a aidée à la ramener à la maison.
Nous sommes restées en contact et quand Franziska fût de nouveau malade j'avais insisté pour qu'elle reçoive Katja comme médecin. Franziska s'en ait encore une fois bien sorti mais quelques semaines plus tard elle est allée dans ce centre. Elle était trop affaiblie, elle devait reprendre des forces. Ce centre était la meilleure solution.
J'ai tout de suite pris la décision de me rapprocher du centre pour être près d'elle. Donc j'ai vendu la maison, demandé ma mutation et je suis allée m'installer à Francfort sur l'Oder. C'est comme cela que s'appelle la ville où est l'hôpital et le centre spécialisé.
Je vous avais déjà raconté que j'avais emménagé avec une amie. Et bien, comme je vous l'ai dit je m'étais beaucoup entretenue avec Katja, le médecin de Franziska et me suis liée d'amitié avec elle. En fait je ne vous ai pas tout dit.
Avant de continuer je vous rappelle que vous m'avez promis de m'écouter jusqu'à la fin sans m'interrompre. J'aimerais rajouté comme condition que vous m'écoutiez jusqu'à la fin. Est ce que ce serait possible ?

Les parents de Karin acquiescèrent tout de suite à cette requête.

Karin : Bien, je ne vais pas passez par quatre chemins pour vous expliquer.

Les parents devenait de plus en plus impatients, Karin parlait dans le vide. Leurs regards expressifs et impatients firent remarquer à Karin qu'elle devait arrêter de parler pour ne rien dire si elle ne voulait pas que ses parents brisent leur promesse de se taire de tout commentaire.

Karin d'une traite : Je suis tombée amoureuse de Katja la première fois que je l'ai vue. Je lui ai fait des avances discrètes qu'elle a comprises et qu'elle m'a retourné. Nous avons commencé à nous connaître un peu mieux. Nous sommes sorties ensemble : dans des concerts, des opéras, des cinémas, des bars et des restaurants. Et petit à petit, nous sommes devenues un couple non-officiel. Je me sentais si mal et pas sure de moi. Franziska était malade et moi j'étais juste heureuse d'avoir trouvé quelqu'un qui m'aime autant que je l'aime. Bien sûr Franziska n'était pas bête, elle avait remarqué un rapprochement entre nous deux. D'abord elle a crû à une amitié très forte mais après elle a compris que c'était bien plus. Elle l'a bien pris. Lorsqu'elle est allée dans ce centre spécialisé, j'avais décidé de me rapprocher. Katja m'a alors proposé d'emménager avec elle. Pour le monde en dehors c'était une colocation entre amies mais pour nous ça ne l'était pas. Depuis je vis avec elle... En couple. Cela fait 26 ans que nous sommes ensemble.
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MessageSujet: Re: Retrouvailles : 28 ans après la chute - MPX   Retrouvailles : 28 ans après la chute - MPX Icon_minitimeJeu 1 Sep 2016 - 17:49

16 Décembre 1989 : Réaction et repas en famille

Elle n'eut pas la force de les regarder. Elle attendait leur réaction qui semblait ne pas venir. Karin leva donc instinctivement les yeux vers ses parents et ce qu'elle y vit la soulagea instantanément.
Ses parents ne disaient rien, ils ne pouvaient pas encore. Ils étaient contents pour leur fille qu'elle ai trouvé quelqu'un.

Karin revint tous les jours pendant un mois chez ses parents. Parfois pendant quelques minutes n'ayant pas plus de temps et d'autres fois pendant des heures. Elle ne se lassait jamais de parler de tout et de rien avec eux. Mais après un mois elle se décida à inviter ses parents chez elle et sa compagne, Katja. Elle voulait faire les présentations, depuis le temps qu'elle parlait de sa chère et tendre à ses parents. Ils se mirent vite d'accord sur une date, qui arriva.

Katja était dans la cuisine et préparait l'apéritif dinatoire : des tartines de fois gras, des petites saucisses, d'autres tartines au saumon, etc.
Karin était à ses côtés et n'arrêtait pas de stresser :
- Et s'ils ne t'aimaient pas ?
- On verra en temps voulu.
- Mais...
- Pas de mais. Aide moi plutôt à finir au lieu de raconter des âneries.
Chose dite, chose faite, Karin l'aidait. Katja s'amusait de la situation, elle ne l'avait jamais vue aussi angoissée et stressée à cause de quelque chose.
Quelques minutes plus tard la sonnette retentit et Karin alla ouvrir. Elle fut vite rejointe par Katja qui eut le plaisir d'enfin rencontrer les parents de Karin. Parents qui étaient une fois perdus et qui maintenant avaient de nouveau une famille.


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